Notes bimensuelles #02 – S2409E02

Ce qu’il s’est passé du 16 au 30 septembre 2024
L’anniversaire de mon fils : 10 ans déjà ! Waw ! Que le temps passe vite ! Et je suis si fier de lui ! Une grosse mise en production (MEP pour les intimes) qui a débuté le jour de la fête de la Fédération Wallonie-Bruxelles et s’est terminée avec succès le lendemain en début de soirée. Le décès d’un voisin.

  • Mes joies
    L’anniversaire de mon fils bien entendu ! Il est fan de voitures ces derniers temps et plus particulièrement de la marque Renault ces derniers mois. Il a été super gâté (et c’est plus que mérité) avec un beau circuit de voitures avec des R5 (l’ancienne et la nouvelle), un modèle réduit de la Rafale, un très beau livre retraçant l’histoire de la marque (et + encore) et, le clou du spectacle : un stage de conduite d’une Renault Clio RS (hé oui, apparemment, c’est accessible aux très jeunes enfants) ainsi qu’une petite vidéo de Nicolas de la chaîne YouTube Mécanique Sportive ! J’ai contacté Nicolas via son compte Instagram et spontanément il a joué le jeu en faisant une petite vidéo d’anniversaire pour mon fils ! Super cool ! Encore merci à lui pour sa gentillesse.
    Du rangement et du tri dans mes affaires et le fait de revoir et remettre de côté précieusement pour plus tard mes anciennes consoles : Super Nintendo, Nintendo 64, PlayStation 3… J’ai conservé toutes mes consoles depuis la 1ère. Ainsi que leurs boîtes d’origine (pour certaines dans un état impeccable). Bien entendu on pourrait dire que les voir dans des boîtes en carton au grenier est tristounet mais, ce que je me dis, c’est que dans quelques temps (que j’espère pas si lointain), je pourrai aménager un coin bureau/geek/retrogaming rien qu’à moi avec toutes ces choses conservées précieusement au fil du temps (un peu à la manière du studio de Conquerax ou Fred/Joueur du Grenier).
  • Mes peines
    J’ai fait beaucoup de mal à une personne qui m’est très proche et j’en suis maintenant bien conscient. Dans un autre registre, je ne me sens pas bien dans ma peau. Et je ne me suis d’ailleurs jamais senti bien dans ma peau. Depuis aussi longtemps que je me souvienne… Je me suis toujours trouvé bizarre. Et je suis convaincu que les autres me trouvent en retour bizarre. Je me suis toujours trouvé en décalage. J’ai l’impression de fonctionner depuis mon adolescence comme un robot ou comme un programme qui suit un algorithme {tiens tiens…} (en fonction de telle ou telle variable / ou contexte telle ou telle action / parole à exécuter / dire). Pas top. Je n’ai pas beaucoup d’amis. Idem pour les passions. Au niveau boulot j’ai l’impression de tourner sérieusement en rond. L’alcool a parfois été ces derniers temps une (très mauvaise) solution pour penser à autre chose. Pas à me rouler par terre ou à faire des comas mais, une consommation sans doute un peu trop élevée et qui n’était plus une consommation par simple plaisir de déguster une bonne bière. J’en suis maintenant conscient. Des idées noires parfois aussi face à un espèce de « mur » qui me fait face et dont je me rends compte tristement que je ne saurai pas le franchir. Fort heureusement, un peu de lucidité dans cette histoire et la volonté d’être soutenu & aidé pour quand même aller de l’avant sereinement (et aller au-delà de ces difficultés). Ai-je des troubles du spectre de l’autisme ? Ai-je une chimie du cerveau particulière ? Ai-je quelque chose au fond de moi qui me « bloque » ? … ? Je l’ignore mais je vais tout faire pour aller mieux à partir de maintenant.
    Mon voisin de 80 ans s’est éteint récemment. Je le connaissais depuis environ 5 ans désormais. Je l’avais aidé dernièrement pour son PC sous Ubuntu et son smartphone. Repose en paix.
  • Vu / lu / écouté
    Matrix Generation d’ARTE Cinema sur YouTube : https://youtu.be/bNWY5Bd_KOA
    Comment PLAYSTATION a (définitivement) DÉTRUIT SEGA ! de Conquerax : https://youtu.be/hHcQx8cP7us
    Quelques épisodes d’ « Un monde à part » de François Mazure sur Auvio : https://auvio.rtbf.be/emission/un-monde-a-part-19466
    Sur le chemin de l’école : https://youtu.be/4oPfCCBfp60 – Magnifique documentaire qui nous fait prendre conscience que, dans certaines parties du monde, aller à l’école n’est pas si simple et que de nombreux jeunes enfants sont plus que très courageux d’emprunter des chemins dangereux pendant plusieurs heures pour apprendre et espérer ainsi accéder à une vie meilleure.
    Quelques épisodes du podcast « Septante minutes avec » (le site web est magnifique ; j’écoute toutefois exclusivement via Podcast Addict) : celui avec Valérie Glatigny (elle est actuellement ministre de l’Éducation et de l’Enseignement de promotion sociale de la Fédération Wallonie-Bruxelles ; j’ai trouvé son parcours très intéressant), un autre avec Bertrand Henne (journaliste à la RTBF) et un dernier avec Fiona Jestin sur le trouble borderline (tout comme l’épisode avec Marco Di Duca sur la neurodiversité en Belgique, ce sont des épisodes qui me « parlent » car, même si je n’essaie pas d’être à la « mode », je suis persuadé en regard de ce que je ressens au fond de moi d’être d’une manière ou d’une autre neuroatypique).
  • Au passage
    J’en suis également à un stade de ma vie où le temps à ma disposition n’est plus extensible à l’infini (ce n’est pas une nouveauté en soi, ça ne date donc pas d’hier) et il faut donc faire des choix sur la manière de l’utiliser. J’ai de moins en moins envie d’auto-héberger les services que j’utilise au quotidien (Nextcloud, FreshRSS, WordPress pour ce blog…). J’ai déjà essayé de rationaliser et de simplifier au maximum l’utilisation de divers services en me rabattant en priorité sur Nextcloud que je trouve excellent et qui à superbement évolué ces dernières années. Grâce aux applications qu’on peut lui ajouter, il peut répondre facilement et simplement à plein de cas d’usages différents. L’inconvénient parfois : certaines applications ne suivent pas forcément les montées de version de Nextcloud. On se retrouve donc avec un Nextcloud bloqué sur une version précise ou alors un Nextcloud à jour avec l’application désactivée. Quoi qu’il en soit, je n’ai plus guère l’envie de m’occuper de tout ces aspects : mises à jour, sauvegardes, sécurité. J’essaie donc de trouver des solutions « clés en main ». J’ai même tenté l’aventure Yunohost mais hélas ce n’est pas concluant pour moi (sur un VPS Debian). La faute aussi à ci et là certains souci : des applications qui ne se mettent pas correctement à jour. Des dépôts pas forcément synchronisés. Et donc il faut quand même mettre les mains dans le cambouis et faire de la ligne de commande en SSH pour débloquer la situation. Je n’en ai plus trop envie. ça me rappelle trop le boulot. Je regarde donc chez Zaclys ainsi que chez Infomaniak pour prendre un abonnement Nextcloud / FreshRSS / WordPress tout compris.
  • Notes bimensuelles #01 – S2409E01

    • Le concept
      Je tente à mon tour l’exercice d’écrire quelques notes bimensuelles en m’inspirant du blog de Genma qui s’est lui-même inspiré d’autres blogs. Même philosophie principalement : désacraliser l’écriture dans un 1er temps (j’attendais toujours l’idée parfaite d’un article de blog excellent en me disant de toute façon qu’il y avait mieux ailleurs et qu’en fin de compte ça ne valait pas la peine de l’écrire), partager dans un 2ème temps les choses dont j’ai envie (c’est mon blog tout de même, j’y écris et raconte ce que je veux sans avoir de compte à rendre à personne). Aucune pression. Pas de réel enjeu (si ce n’est alimenter un peu plus le blog en espérant oser davantage écrire des p’tits articles). À voir si ça durera dans le temps…
    • Ce qu’il s’est passé ces dernières semaines
      Pour les toutes 1ères notes, on pourrait presque dire « ce qu’il s’est passé ces derniers mois ». Mais je ne vais quand même pas remonter jusqu’au début 2024. J’ai des brouillons ici-même depuis des années et que je ne publierai sans doute jamais. Pour certains, je ne sais de toute façon plus exactement où je voulais en venir ou comment je voulais tourner ça. Bref.
      Les vacances estivales donc. Un séjour d’une semaine en Bretagne à Erquy. C’était chouette. Des balades dans la nature. Une petite sortie en soirée rien qu’à deux. Walibi.
    • Mes joies
      Ma fille qui rentre en 1ère année primaire sereinement. Elle a acquis beaucoup de confiance en elle ces derniers temps. Elle adore sa nouvelle classe, le fait d’avoir retrouvé ses copines & copains ainsi que ses institutrices. Elle a hâte d’appendre à lire. Je suis très fier d’elle.
      Je le suis tout autant de mon grand garçon qui est lui en 5ème année primaire. Il adore également sa nouvelle institutrice. Il travaille très bien à l’école comme il l’a toujours fait. Je suis très fier de lui.
    • Mes peines
      Une situation familiale et plus précisément de couple tendue. Une fatigue et une usure accumulées de part et d’autres. La routine et peu de moments pour souffler, décompresser et se changer les idées.
      Au niveau professionnel la sensation désormais de commencer sérieusement à tourner en rond depuis plusieurs mois.
    • Vu / lu / écouté
      Je suis toujours un fidèle du podcast de Patrick Beja « Le rendez-vous Tech ».
      Fort Boyard bien sûr comme quasi chaque été ! C’est pour moi l’émission emblématique de l’été et quand arrive le dernier épisode le signal de la fin de la période estivale et la rentrée qui s’annonce. J’ai adoré comme à chaque fois. Un épisode n’a pas été diffusé apparemment en regard des 9 qui ont été tournés. Cette saison a été particulière aussi car marquée par le décès de Patrice Laffont le tout premier présentateur de l’émission il y a de ça un peu plus de 30 ans !
      J’ai enfin terminé le visionnage de la série Star Trek : The Next Generation. Une série dont j’avais acheté les 7 coffrets DVD il y a de ça un peu moins de 20 ans ! Ce n’est que bien des années plus tard que j’ai commencé le visionnage sur Netflix (en août 2019). J’ai sauté volontairement quelques épisodes des premières saisons et j’ai ensuite regardé sans exception tous les autres jusqu’au dernier tout récemment en juillet 2024. Excellente série TV s’il en est bien évidemment. Les premières saisons et les effets spéciaux ont vieilli et il faut parfois être indulgent. Toutefois, tout bon fan de Star Trek sait pertinemment bien que le principal n’est pas le visuel mais le message / le sujet abordé dans les différentes histoires. Je n’ai bien évidemment pas regardé que ça de toute ma vie ce qui explique le délai. J’ai notamment fini Star Trek : Discovery également.
      J’ai également vu le film « Le Monde après nous » avec Julia Roberts entre autres. J’ai moyennement apprécié le film. J’ai pas trop compris où ça voulait en venir et la fin m’a clairement laissé dubitatif. Un gros « bof » pour ce film donc. Je ne m’attendais à rien mais j’ai quand même été déçu comme dirait Dewey.
      J’ai vu aussi le film « Medellin » avec Ramzy Bedia, Franck Gastambide et Anouar Toubali. Un film complètement « chtarbé » qui m’a toutefois fait beaucoup rire. Soit je suis bon client, soit j’avais besoin d’un film comme ça au moment même. En tout cas, j’ai bien rigolé.
    • Au passage
      Cela fait désormais presque 3 ans jours pour jours que je cours régulièrement pour entretenir ma santé physique (et accessoirement mentale). Au-début, après avoir trouvé mon « parcours », je ne courrais « que » 3 kilomètres. J’ai ensuite presque doublé pour être à un chouïa plus de 5 kilomètres. J’en étais ces derniers mois à un parcours d’un tout petit peu moins de 6 kilomètres. À 2 reprises toutefois, je me suis permis de faire 2 fois le même parcours sans stopper. Presque 11 kilomètres en quasi 1 heure tout pile. Lorsque je suis en télétravail, je cours généralement lors de ma pause de midi (le « simple » parcours d’un peu plus de 5 km en +/- 30 minutes). Quand je vais au bureau, si je suis motivé, je cours le soir au moment du repas ou un peu plus tard.

    Bonne année 2024 ! 🥳

    2024

    Je vous souhaite une très belle et heureuse année 2024 !

    Que vous souhaiter d’autre ? Plein de belles choses : santé, bonheur, apaisement, épanouissement, rigolades…

    Que peut-on espérer et attendre de 2024 ? Très bonne question !
    Nous aurons droit aux élections européennes et belges peu avant l’été.
    S’en suivrons peu après les fameux Coca-Cola Jeux Olympiques à Paris (un quasi non-sens en regard du changement climatique et surtout du régime policier « strict » et violent en France depuis quelques années ; ça promet…)
    Sans oublier peu après les élections américaines. Trump fera-t-il son « come back » pour prendre sa revanche ?
    Enfin, si pas trop de bouleversement d’ici là, la NASA lancera Artemis II (mission habitée en direction de la Lune sans alunissage par contre juste un survol)

    Le changement climatique est à nos portes. C’est une réalité. Indiscutable.
    Les bouleversements qu’il engendre sont désormais concrets.
    Toutefois il n’y a pas l’air d’avoir une préoccupation mondiale importante de la problématique.
    La raison est sans doute le fait de rejeter la faute à l’autre (au niveau nation s’entend).
    Cela est véritablement anxiogène pour de plus en plus de personnes.
    Individuellement, nous ne pouvons hélas pas faire grand chose s’il n’y pas une volonté étatique.
    Chaque geste compte bien évidemment mais il est difficile voire impossible de compenser seul des industries.
    Cette anxiété nous empêche de savourer certaines choses car on se sent « coupable » d’apprécier et/ou de prendre part à tel ou tel évènement.

    La montée à nouveau de l’extrémisme et de l’antisémitisme (et de l’ignorance) est-elle la solution ?
    Le retour en arrière au niveau de la liberté des femmes (et de leur corps) est-il la solution ?
    Les GAFAM et autres NATU sont-ils nos sauveurs ?

    L’IA nous sauvera-t-elle ?
    L’IA a-t-elle déjà pris le contrôle et nous laisse périr à petit feu ?
    Le bug de l’an 2038 sera-t-il notre salut ?

    En attendant et malgré tout, essayons de profiter de chaque petit moment de bonheur.
    Petit à petit, ces moments mis bout à bout ne peuvent que faire du bien.
    Évitons les mises en production le vendredi.

    Belle et heureuse année ! 🥳🙏‍🐧🌈

     

     

     

    VLC et Fedora Linux 38 – À la recherche des images perdues

    Hier soir, soit le jeudi 21 décembre 2023, je me suis sorti les doigts du derrière finalement empressé de mettre à jour Fedora 37 sur mon PC portable Asus vers Fedora 38.

    « Enfin !!! » diront certains ! Et je ne peux par leur donner tort. Fedora 37 étant déjà hors-support depuis le 5 décembre 2023 (soit un mois après la sortie de la version 39 ; c’est toujours ainsi, quand Fedora version « N » sort, la version « N-2 » est encore supportée généralement pendant un mois ni plus ni moins). J’attends généralement toujours un peu (même si là j’ai abusé…) pour éviter d’essuyer les plâtres car j’utilise mon PC tous les jours dans le cadre de mon boulot. Pas envie que ça merde et que je doive déboguer en catastrophe. Idéalement, je passerai à la version 39 aux alentours de mars/avril 2024…

    Bref, trêve de blabla. La procédure habituelle (dnf system-upgrade download –releasever=38) puis un reboot et on est à peu près bon (juste une bidouille avant avec les dépôts Signal mais j’en parlerai peut-être {j’ai bien dit « peut-être »} à l’occasion). Pas de grosses différences au 1er coup d’œil après le 1er redémarrage. C’est plus les sons qui m’ont finalement fait remarqué que j’avais bien mis à jour mon OS.

    Rien à signaler donc après la mise à jour. Du propre. Du solide. Comme à chaque fois. Une procédure approuvée à de nombreuses montées de version. Impecc’.

    Sauf pour VLC qui en fin de compte n’était plus en mesure d’afficher les images de divers fichiers .mkv. J’avais l’impression d’être revenu presque 20 ans en arrière sous Windows XP avec la nécessité de télécharger et installer le K-Lite Codec Pack avec son lecteur « classic ». Quelle plaie !

    Please Stand By State Champs GIF by Pure Noise Records

     

    Comme j’avais lu début de semaine l’article de Linux Tricks d’Adrien D. Fedora : VLC arrive dans les dépôts officiels mais ... je savais déjà à quoi m’attendre. Allez lire, il explique mieux le quiproquo que moi. Mais en gros, si vous avez la flemme : VLC est passé du dépôt RPM Fusion vers le dépôt Fedora. D’une manière un peu cavalière, au dernier moment sans crier gare. Pas top. Mais (car il y a toujours un « mais » dans l’histoire), on le retrouve dans le dépôt Fedora, à jour, mais sans les plugins pour décoder x264 et x265. C’est con. Un bug a été ouvert sur le bugzilla de RPM Fusion mais il ne sera pas « fixé » : https://bugzilla.rpmfusion.org/show_bug.cgi?id=6816

    Après la mise à jour de Fedora, voici ce que j’ai constaté pour vlc :

    dnf info vlc
    Dernière vérification de l’expiration des métadonnées effectuée il y a 0:06:49 le jeu 21 déc 2023 23:32:28.
    Paquets installés
    Nom : vlc
    Époque : 1
    Version : 3.0.20
    Publication : 4.fc38
    Architecture : x86_64
    Taille : 372 k
    Source : vlc-3.0.20-4.fc38.src.rpm
    Dépôt : @System
    Depuis le dé : updates
    Résumé : The cross-platform open-source multimedia framework, player and server
    URL : https://www.videolan.org
    Licence : GPL-2.0-or-later AND LGPL-2.1-or-later AND BSD-2-Clause AND BSD-3-Clause
    Description : VLC media player is a highly portable multimedia player and multimedia framework
    : capable of reading most audio and video formats as well as DVDs, Audio CDs VCDs,
    : and various streaming protocols.
    : It can also be used as a media converter or a server to stream in uni-cast or
    : multi-cast in IPv4 or IPv6 on networks.

    On voit bien que le paquet provient du dépôt Fedora « updates ».

    Si on cherche les différents paquets VLC disponibles :

    dnf --showduplicates list vlc
    Dernière vérification de l’expiration des métadonnées effectuée il y a 0:09:12 le jeu 21 déc 2023 23:32:28.
    Paquets installés
    vlc.x86_64              1:3.0.20-4.fc38         @updates 
    Paquets disponibles
    vlc.x86_64              1:3.0.19-0.3.fc38.1     rpmfusion-free
    vlc.x86_64              1:3.0.20-4.fc38         updates

    Un paquet dans le dépôt Fedora « updates » (le plus récent) et un autre dans le dépôt RPM Fusion

    La solution : j’ai désintallé vlc (et ses dépendances) avec le classique dnf remove vlc

    Ensuite, je suis allé éditer le fichier du dépôt Fedora « updates » /etc/yum.repos.d/fedora-updates.repo de la manière suivante :

    [updates]
    name=Fedora $releasever - $basearch - Updates
    #baseurl=http://download.example/pub/fedora/linux/updates/$releasever/Everything/$basearch/
    metalink=https://mirrors.fedoraproject.org/metalink?repo=updates-released-f$releasever&arch=$basearch
    enabled=1
    countme=1
    repo_gpgcheck=0
    type=rpm
    gpgcheck=1
    metadata_expire=6h
    gpgkey=file:///etc/pki/rpm-gpg/RPM-GPG-KEY-fedora-$releasever-$basearch
    skip_if_unavailable=False
    exclude=vlc vlc-cli live555

    J’y exclus les paquets vlc, vlc-cli et live555

    Ainsi, plus de souci pour faire les futures mises à jour. Le paquet vlc (et vlc-cli et live555) sera mis à jour via le dépôt RPM Fusion. Le reste du système via le dépôt Fedora « updates ». Sans devoir se prendre la tête à exclure manuellement (via dnf -x) le paquet vlc ou d’excure le dépôt « updates » avec –disablerepo=updates pour vlc.

    Season 8 Nbc GIF by The Office

    Problème réglé.

    Je n’ai pas d’inspiration

    Salut tout le monde.

    À quelques heures de clôturer 2022, je m’aperçois que je n’ai rien publié ici-même tout au long de cette année écoulée. Voilà donc qui est corrigé ! 😁 Une bonne chose de faite. À l’année prochaine ! 🤣

    Blague à part, je ne vais pas dire que je n’ai pas eu le temps, plutôt que je n’ai pas pris le temps d’écrire quoi que ce soit. Et au niveau inspiration, c’est clair que je n’ai pas eu de grande inspiration. Je n’ai pas grand chose à dire d’intéressant. Plein d’autres sites web et blogs font ça bien mieux que moi. Et pour les articles plus « techniques », je n’ai pas assez bidouillé en 2022 pour avoir quoi que ce soit de pertinent à ajouter aux Internets.

    À quoi s’attendre pour 2023 ? À pas grand chose je pense. Depuis la période COVID, mieux vaut s’abstenir de faire la moindre prédiction. La crise climatique, la crise énergétique, l’inflation, la guerre en Ukraine, Twitter racheté par Elon Musk et bien plus encore nous font bien prendre conscience que désormais la partie dans laquelle nous évoluons actuellement est clairement en mode « Yolo ».

    Envoyer/recevoir les e-mails, accéder à l’agenda et aux contacts Microsoft Exchange sur Fedora

    Contexte : Mon unique PC portable principal tourne avec Fedora depuis maintenant plusieurs années (j’ai quand même un dual-boot avec Windows 10 au cas où mais honnêtement, je ne l’utilise quasi jamais de la sorte). L’entreprise où je travaille, comme beaucoup d’autres boîtes, utilise Microsoft Exchange pour les e-mails, l’agenda et les contacts. Bien évidemment, à l’heure où j’écris ceci, même si Microsoft a fait plusieurs pas en avant ces dernières années vers l’univers « Linux » et que Microsoft Outlook est disponible sous Android, pour GNU/Linux et dans le cas qui m’intéresse plus précisément Fedora, aucun Microsoft Outlook à disposition (certains diront que via Wine c’est possible mais, sincèrement, je n’avais pas envie de « bricoler » de la sorte – cf. principe KISS).

    Depuis des années voire même presque le début, j’utilise Mozilla Firefox. Il était donc +/- logique que je bascule vers Thunderbird pour mes e-mails. Par contre, et c’est là que ça coince, nativement, Microsoft Exchange n’est pas supporté. J’ai donc testé plusieurs modules complémentaires comme TbSync et Owl/Chouette. Hélas, aucun n’a répondu totalement à mes attentes. Le 1er, je n’ai jamais réussi à le faire fonctionner correctement et le second, pour lequel j’avais quand même payé une licence d’un an, m’imposait très très souvent de me reconnecter et était limité au niveau des agendas (partagés).

    J’étais ensuite tombé sur le site web suivant : https://www.monperrus.net/martin/microsoft-exchange-calendar-from-thunderbird au gré de mes recherches. Et là, bingo ! Avec la passerelle Davmail, ça marchait du tonnerre ! C’était un peu du bricolage pour la partie « agenda » mais, sans utiliser le moindre module complémentaire dans Thunderbird, ça faisait parfaitement le job ! Et ça pourrait d’ailleurs parfaitement vous convenir en fonction de votre infra Exchange. Je dis bien « ça faisait parfaitement le job » car, du jour au lendemain, au niveau agenda, ça a commencé à déconner. J’ai bien évidemment essayé d’utiliser la dernière version en date de Davmail mais, dans ce cas précis, c’était encore pire et plus rien ne fonctionnait ! J’ai même désespérément tenté de contacter le développeur principal de Davmail. Hélas en vain (je ne lui jette pas du tout la pierre hein, il a sans doute mieux à faire) !

    Bref, il fallait donc que je trouve une alternative. Je n’avais guère envie de revenir sous Windows 10 ou 11. J’avais alors envisagé un peu par dépit de tenter l’aventure avec macOS sur un MacBook Pro d’occasion (je n’ai toutefois pas [encore ?] franchi le pas).

    Je suis donc tombé sur Evolution. Il faut dire qu’il n’y a pas 36 alternatives à Thunderbird (si ce ne sont quelques clients e-mails en ligne de commande). Je l’ai installé et je l’ai essayé. Résultat : échec. Je m’y suis sans doute mal pris. J’avais fait la configuration de mon compte e-mail manuellement. Et c’est sans doute là que ça a coincé (ça plus le fait qu’il me manquait un paquet pour la prise en charge complète d’Exchange). Je l’ai désinstallé et je me suis entêté à faire fonctionner quasi coûte que coûte Thunderbird et Davmail. Spoiler : en vain !

    Puis, j’ai fait une nouvelle recherche sur le Net et là, bingo, je suis tombé sur le site web suivant : https://www.linuxtricks.fr/wiki/gnome-integrer-son-compte-microsoft-exchange-sous-linux Hourra ! Merci d’ailleurs à l’auteur de cet article ! Si j’étais tombé dessus un peu plus tôt, il m’aurait fait économiser de nombreuses heures de prise de tête.

    Concrètement : il suffit d’installer les paquets evolution et evolution-ews (ce dernier permet la prise en charge de l’API Exchange Web Services (EWS)). Et après avoir configuré son compte, c’est à peu près tout ! Accessoirement, je recommande l’installation de gnome-calendar & gnome-contacts.

    Dès que c’est installé, allez dans « Comptes en ligne » (via Paramètres système / Centre de contrôle ou directement en tapant « Comptes en ligne » dans le menu des applications) et ajoutez-y votre compte Microsoft Exchange (si pas présent sur votre système, installez le paquet gnome-online-accounts).

    Vous pouvez choisir ce que vous souhaitez synchroniser : Courriel, Agenda et/ou Contacts.

    Patientez quelques secondes et ça devrait être bon. C’est tout ! Rien de plus !

    Toujours dans mon cas, j’ai importé toutes mes archives Thunderbird sans le moindre souci. J’ai également refait 2 ou 3 règles pour appliquer des étiquettes automatiquement aux e-mails de la boîte de réception. Après quelques réglages ci et là (le dossier local d’archivage, la signature, la manière dont sont affichés les e-mails [grouper ou non par fils de discussion]) et je me retrouvais à quelques menus détails près avec ce que j’avais avec Thunderbird, prise de tête en moins.

    Petite subtilité pour ajouter un agenda partagé d’un-e collègue ou d’une équipe : il suffit de faire un clic droit sur l’intitulé de votre compte dans la partie « Courriel » d’Evolution est cliquer sur « Subscribe to folder of other user… ». Vous renseignez le nom du calendrier et dès qu’il apparaît dans les résultats, vous choisissez bien entendu « Calendar ».

    Dans l’immédiat, j’ai retrouvé presque toutes mes habitudes de Thunderbird dans Evolution (comme par exemple convertir le contenu d’un e-mail en évènement dans l’agenda pour ne rien oublier – par contre, le fait de simplement appuyer sur la touche « A » du clavier pour archiver les messages me manque [ou alors, je n’ai pas bien cherché]). A voir bien entendu dans les semaines/mois qui viennent si des choses vont me titiller.

    Bonus : via le terminal, il est possible de faire démarrer Evolution dans un mode bien précis (Courriel, Agenda, Contacts, …). Tapez evolution –help pour en savoir plus. Et, chose intéressante pour les sauvegardes, il suffit d’aller dans Fichier puis Archiver les données d’Evolution …. pour générer automatiquement une archive compressée tar.gz (malheureusement, pas faisable via la commande evolution [j’ai vérifié] et donc pas scriptable automatiquement en l’état).

    pip vs npm

    Petit aide-mémoire si besoin

    npm vs pip : Quelles sont les différences ?

    Les développeurs décrivent npm comme « Le gestionnaire de paquets pour JavaScript » (Node.js). npm est l’interface en ligne de commande de l’écosystème npm. Il est éprouvé, étonnamment flexible et utilisé par des centaines de milliers de développeurs JavaScript chaque jour.

    npm se compose de deux parties principales :

    */ un outil CLI (interface de ligne de commande) pour publier et télécharger des paquets, et
    */ un référentiel en ligne qui héberge les paquets JavaScript

    D’autre part, pip est décrit comme « un gestionnaire de paquets utilisé pour installer et gérer des paquets écrits en Python. ». Vous pouvez utiliser pip pour installer des paquets à partir de l’index des paquets Python et d’autres index.

    npm et pip peuvent être classés dans la catégorie des outils « Front End Package Manager »

    Bref, npm et pip sont très proches en terme de philosophie. On peut les résumer en gestionnaires de paquets. Le premier pour JavaScript (Node.js) et le second pour Python.

    Les nouveaux outils Tech/DevOps/IT « à la mode » ne m’emballent pas

    Je deviens vieux. Ou alors c’était mieux avant. À peu de choses près c’est la même chose. Telle sera certainement la conclusion de ce billet.

    Je vais peut-être me tirer une balle dans le pied en écrivant ce qui va suivre. À voir. Ce billet sera plus intimiste. Donc plus personnel. Ce n’est pas du tout, mais alors pas du tout dans mes habitudes de faire cela. Mais un peu à la manière de ce qu’à pu écrire Genma sur son blog ces derniers mois / ces dernières années (cf. ici et par exemple), je me suis dit pourquoi pas.

    Topo : professionnellement parlant, je suis dans l’IT depuis plus de 15 ans. Après une formation en tant que « Conseiller Technique PC/Réseau », me voilà technicien PC/Réseau (technico-commercial officiellement) dans une petite PME. Après avoir énormément appris sur un laps de temps très court, je sens à l’époque que j’en ai fait le tour et que je commence à stagner (à force de formater et réinstaller des Windows XP et Vista, cérébralement parlant, c’était bon pour moi). Le contexte est ce qu’il est à l’époque, je suis célibataire, sans enfants et sans grandes responsabilités/obligations en fin de compte. J’aurais aimé lancer ma propre activité (en tant qu’étudiant quelques années plus tôt, j’avais beaucoup aimé travailler dans un petit magasin d’alimentation générale – comme j’aimais le contact avec la clientèle et l’informatique [évidemment !], je souhaitais ouvrir ma propre petite structure du même acabit). Pour X et Y raisons, cela ne s’est pas fait. J’y reviendrai peut-être à l’occasion… J’ai donc ensuite travaillé pendant un an en tant qu’employé administratif. Je n’ai pas beaucoup aimé, je suis passé à autre chose juste après. J’ai finalement lancé mon activité en tant qu’indépendant (auto-entrepreneur pour les lecteurs français). J’étais donc aux commandes de mon propre « business » mais en tant que consultant, sans surface commerciale donc. Au début, j’ai fait ce que je savais faire : technicien PC/Réseau (pour tous). Ensuite j’ai souhaité évoluer moi-même en me focalisant uniquement sur les professionnels. J’ai fait de la consultance/sous-traitance pour quelques boîtes. Puis je me suis décidé à laisser tomber l’univers Windows pour me focaliser sur Linux (j’ai toujours eu des idées/concepts avec des Raspberry Pi même si pas grand chose de palpable n’en est sorti…). Me voilà donc administrateur système Linux en tant que consultant/freelance puis désormais en tant qu’employé (ayant mis un terme à mon activité d’indépendant il y a peu de temps).

    Comme je le note en titre, les nouveaux outils Tech/DevOps/IT « à la mode » (je précise un peu plus loin pourquoi les guillemets) ne m’emballent pas. D’ailleurs, je ne me considère toujours pas comme un DevOps mais encore et toujours comme un administrateur système. Je suis peut-être de la vieille école (les mauvaises langues diront que je ne sais plus évoluer et me remettre en question vis-à-vis du métier – et vous n’avez peut-être pas tort finalement). Quels sont justement les outils du DevOps et quels sont les rôles de ce dernier ? Une rapide recherche et je prends les 2 premiers liens qui arrivent : https://kinsta.com/fr/blog/outils-devops/ & https://www.padok.fr/blog/outils-devops .

    Bref, Docker, Kubernetes, Docker-Swarm, Terraform, Vagrant, … (liste non-exhaustive), ça ne me fait pas vibrer. Ce n’est pas mon « délire ». Je ne jette pas la pierre bien entendu aux personnes qui apprécient et maîtrisent ces outils. Tant mieux pour elles. Peut-être qu’il y a 10 ans j’aurais aimé moi aussi m’y mettre. Mais ce n’est pas le cas pour le moment. Le Cloud, ce mot magique de l’informatique dans les nuages alors que, comme il l’a déjà été répété à maintes et maintes reprises, il ne s’agit que de l’ordinateur (ou plutôt le serveur) de quelqu’un d’autre. Les GAFAM ont pris le dessus. Désormais, déployer une instance chez AWS ou Google Cloud Computing est presque la norme. Les notions de cloud souverains sont bien belles sur papier mais pour l’instant uniquement au rayon fiction (alors que ce ne sont pas les acteurs majeurs du domaine qui manquent : Scaleway, OVH, …). Tiens, pour la Belgique, je suis incapable de donner un nom !

    Pourquoi ces outils Tech/DevOps/IT ne m’intéressent guère ? Car, comme je l’écris en sujet, je les trouve souvent « à la mode ». J’entends par là que telle ou telle techno sera mise en avant pendant un moment et, qu’après quelques temps, l’outil ne sera plus celui qui est en vogue mais sera remplacé par autre chose. Avec plus de fonctionnalités, plus de flexibilité, plus de ceci et plus de cela. Tant mieux, c’est sans doute bien, ça génère de la concurrence entres les acteurs et chacun est toujours obligé de se remettre en question. Mais, je n’aime pas effleurer un outil ou une technologie que du bout des doigts parce qu’elle est à la mode sans la maîtriser un minimum. Sans compter de toute façon qu’en entreprise, on ne peut pas se permettre de faire la girouette tous les 6 mois et changer pour s’aligner sur le produit du moment. C’est techniquement et commercialement impossible tant la latence pour déclencher le processus de réflexion et enclencher le changement mettra du temps (sans doute justifié pour éviter de choisir un produit à la hâte – sans oublier que les enjeux commerciaux feront de toute façon sans doute basculer le choix vers telle techno plutôt qu’une autre). Mais ça peut être frustrant justement. Car l’outil qui aura été validé comme « standard », devra être utilisé pendant des années. Alors qu’à côté, on sait qu’il y a tel ou tel autre qui fait sans doute ça plus rapidement, plus simplement et bien entendu plus efficacement (selon les échos et autres bruits de couloirs bien évidemment). Je n’aime donc pas la guerre des chapelles technologiques ou chaque personne prône pour sa propre paroisse. Il n’y a qu’à chercher sur le Web où une multitude de solutions existent. C’est bien, c’est diversifié. Mais hélas, le choix en devient alors cornélien et lourd à assumer (car, selon les dires, telle ou telle techno est la meilleure). Exemple simple : besoin d’un serveur web ? Apache HTTP (bien connu et réputé) fera le job ! Non, Nginx est mieux, plus léger, moins consommateur de ressources. Et lighttpd là-dedans ? Sur quel OS serveur tournera ce serveur web ? Debian, Ubuntu, Rocky Linux, … ?

    Je pense être assez lucide pour comprendre qu’il me faut de l’informatique qui a du sens. Si c’est pour déployer des serveurs à foison sans avoir un réel retour sur à quoi tout ça pourra bien servir et si finalement les utilisateurs finaux seront contents du service rendu, ça n’est pas réellement pour moi. Mais bon, là, je digresse, ce n’est pas l’objet de ce texte.

    En fin de compte, pour ne pas faire trop long avec ce billet, force est de constater que je me suis finalement sans doute trompé en intro. Ma conclusion ne sera pas « Je deviens vieux. Ou alors c’était mieux avant. » (même si la 1ère partie est bien un fait). Ce n’était sans doute pas mieux avant mais, personnellement, j’ai peut-être envie (une nouvelle fois) d’autre chose. J’aime pouvoir compter sur des technologies qui ont fait leurs preuves et qui sont stables. En effet, j’ai une relation un peu « particulière » avec l’informatique : un peu aigre-douce. Le fait que la moindre mise à jour, la moindre installation, le moindre caractère peut mettre un système par terre m’horripile.

    Il parait que ce n’est pas au vieux singe qu’on apprend à faire la grimace. Il paraît aussi qu’il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis. Déployer un backend à haute disponibilité et redondance, résiliant avec scalabilité chez tel ou tel prestataire cloud avec un frontend chez tel autre CDN n’est pas mon kif. Je n’ai pas dit que je le faisais, mais je sais déjà que je ne veux pas le faire. Et de mon point de vue, c’est déjà bien. Il me faut des choses plus simples (j’ai pas dit simplistes), plus authentiques. Utiles pour telles structures, telles écoles, tels services aux citoyens. Éthiques, solidaires et proches de l’humain (sans vouloir utiliser des bullshit buzzwords).

    On va peut-être me dire que je suis un vieux briscard et qu’il est temps de passer à autre chose. Toutefois, cet autre chose, je ne sais pas c’est quoi. Je ne sais pas faire grand chose d’autre. Dois-je aller élever des chèvres dans le Larzac ou devenir boulanger ? J’ose encore espérer pouvoir trouver tip top ce qui me conviendra.